Tout sauf préparer la reprise lundi

Le syndrome de la reprise.

J’ai bien connu ça, des fois de façon plus violente que d’autres. D’abord, un compte à rebours dès la seconde semaine de vacances. Et puis une pression croissante au fil des jours : il va falloir m’y remettre, à ces fichues préparations. Et puis je me mettais à rêver de l’école, et les quelques nuits avant la reprise étaient plus agitées, je ne vous parle pas de la dernière nuit avant le fatidique lundi.

 

Quand le corps dit non…

Mais au-delà de ces symptômes classiques, j’ai aussi ressenti un refus viscéral de tout mon être. Il y a des fois où ça m’a paru impossible d’y retourner, je me suis dit qu’un jour je n’y arriverais plus.

 

…c’est le signe d’un réel mal-être au travail

Alors je comprends bien celles et ceux qui s’expriment sur les groupes sociaux.

Bien sûr, avoir le blues à la fin des vacances, c’est normal pour la plupart des gens.

Mais quand c’est un déchirement, quand on se dit qu’on ne vas pas y arriver cette fois-ci, c’est le signe d’un réel mal-être au travail.

 

Entendez le message, trouvez de l’aide rapidement pour construire des solutions.

Même si votre projet n’est pas réalisable tout de suite, même si vous n’avez pas encore toutes les réponses, reprendre la classe en sachant que vous êtes en train de construire quelque chose sera déjà plus vivable.

Il y a aussi des solutions qui peuvent être rapides : pas une reconversion immédiate, mais un déblocage de certains mécanismes de stress, une façon différente de vivre votre métier, une autre relation à vous-même.

 

Je suis à votre disposition pour répondre à vos questions.
Noémie GASSER

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